Sélection Prix Mémorable
Bambine d’Alice Ceresa est sélectionné pour le très beau Prix Mémorable des librairies Initiales
Traduit de l’italien par Adrien Pasquali, traduction révisée par Renato Weber

“Un Noël avec Winston” de Corinne Desarzens

“Volodia” d’André Ourednik
«Un petit conte caustique, dense, excessif et nécessaire. Comme le sont les exutoires.» – Thierry Raboud, La Liberté

“L’art de résister au malheur” de John Cowper Powys
Il n’existe qu’une seule échappatoire face à la ruine qui menace vos instants de bonheur, et c’est celle que vous avez dû utiliser encore et encore dans d’autres difficultés psychologiques. Prendre la fuite ! C’est là tout le secret, le grand, libérateur, sage, éternel secret pour réagir à cette situation délicate.
Prenez la fuite !


Rencontre avec Isabelle Cornaz
Rencontre avec Isabelle Cornaz
le 08 décembre à 18h30
au Cellier à Reims
Réservations ici.
Adresse : Le Cellier, 4 bis rue de Mars, Reims
Isabelle Cornaz à la librairie Petite Egypte
Rencontre avec Isabelle Cornaz et Etienne Bouche autour de la Russie, une discussion animée par Florent Georgesco (Le Monde)
Samedi 9 décembre, à 19h00 à la librairie Petite Egypte à Paris
Rêver la Suisse
Si, depuis près de vingt ans, la librairie Éternels FMR se tient chaque année en décembre à la Halle Saint-Pierre, pour la première fois en 2023 elle accueillera en son sein le tout nouveau festival RÊVER LA SUISSE (soutenu par Pro Helvetia et le Centre Culturel Suisse), autour de la littérature suisse contemporaine.
+ une sélection dans la librairie permanente du musée (Zoé, Cahiers dessinés, Art brut, etc.)
La Halle Saint-Pierre / Art brut, Art outsider, Art singulier / 2, rue Ronsard – 75018 Paris – M° Anvers
L’entrée au public est gratuite. La Halle est ouverte de 11 heures à 18 heures du lundi au vendredi, de 11 heure à 19 heures le samedi et de 12 heures à 18 heures le dimanche. Fermeture à 16 h 30 les 24 et 31 décembre, fermé les 25 décembre et 1er janvier.

16.12.2023

La faille du Bosphore
Entretiens de Rosie Pinhas-Delpuech par Maxime Maillard sur le métier de traduire et d’écrire
Rosie Pinhas-Delpuech, Maxime Maillard
«Mais, c’est là que comme Orphée, il ne faut pas se retourner, la traduction atteint sa limite et passe le relais à l’écriture. En suivant un écrivain de cette manière, en conjuguant littérature et psychanalyse, en comprenant qu’il ne s’agit pas de combler le trou de la perte, mais de rester devant l’impossible origine, l’impossible identité, l’impossible unité compacte de l’être, on se rend compte que la langue se construit sur du manque, sur ce qu’on ne peut pas dire.»

La Mer déchaînée d'Achab
Une histoire naturelle de «Moby Dick»
Richard J. King
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Gillybœuf
Cet essai offre une plongée inédite dans le bestiaire authentique de Moby Dick d’Herman Melville, guidée par un fin connaisseur de son œuvre et de nos océans. Cette perspective nouvelle replace Moby Dick dans une tradition de nature writing maritime.

Au théâtre, dans le texte
d’Eschyle à Beckett
Charles Méla

L’impact de la science
Promesses et périls
Bertrand Russell
Traduit de l'anglais par William Perrenoud. Révision de la traduction, introduction, notes et bibliographie par Normand Baillargeon et Chantal Santerre

La nuit au pas
Isabelle Cornaz
J’ai aimé profondément une ville – Moscou – qui a changé avec le temps, une partie de ce que j’aimais a disparu. J’ai commencé un récit dans lequel elle serait l’héroïne, un essai sur ses motifs réels ou fantasmés, ses trous et l’immensité du pays tout autour. Ce territoire est devenu un corps de rumeurs et de fossiles marins, un corps d’amours et de souvenirs, un corps d’une insoutenable violence.

Rimbaud et la veuve
Edgardo Franzosini
Traduit de l’italien par Philippe Di Meo

Des Jeunes
Federigo Tozzi
Traduit de l’italien par Philippe Di Meo
Un jeune homme vaguement doué pour la peinture est considéré par tout son entourage comme le génie de son temps, deux vieilles voisines vivent en épiant jalousement la vie de l’autre et un ivrogne finit sa nuit dans un four...

Le compromis
Sergueï Dovlatov
Traduit du russe par Christine Zeytounian-Beloüs
«— Le vrai talent finit toujours par percer tôt ou tard. Écris, travaille, essaie de réussir.
— J’essaie. Je crois que je suis même arrivé à quelque chose. L’instructeur du Comité central chargé de la culture a dit du mal de moi.»

Volodia
André Ourednik
Nourri de récits médiévaux obscènes, de l’anticipation brutale de Vladimir Sorokine et de l’ostalgie caustique d’Antoine Volodine, ce roman rappelle que la mise à mort est un des contes possibles face à la réalité.