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De guingois. Festival des littératures suisses
du 13 au 15 juin à la librairie Le Monte-en-l’air
Le temps d’un week-end, la Suisse s’invite à Ménilmontant. Après le festival RAPAILLER, consacré aux littératures québécoises, le festival DE GUINGOIS vous invite à célébrer les littératures suisses.
De la Suisse, pays voisin, on connaît peu. On imagine la droiture, les banques, les montagnes et le chocolat, alors que la Suisse est une terre de diversité linguistique et culturelle.
À travers des entretiens, des performances, des lectures, un podcast et un atelier d’écriture, DE GUINGOIS trace les contours d’une cartographie éditoriale et littéraire dynamique et sensible, où l’on rêve, où l’on s’aime, où l’on lutte, où l’on pense, où l’on fabrique et où l’on se questionne à plusieurs.
Et pour que cela soit une fête, le festival se tiendra sur la terrasse du Monte-en-l’air transformée en place de village, à l’ombre des arbres sous le soleil de juin.
Des bancs, des discussions, et toujours de quoi boire un verre !
13.06.2025
Étonnants Voyageurs 2025
du 7 au 9 juin
Nous aurons le grand plaisir de vous retrouver à Saint-Malo pour le Festival Étonnants Voyageurs
07.06.2025
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Actualités

De guingois. Festival des littératures suisses
du 13 au 15 juin à la librairie Le Monte-en-l’air
Le temps d’un week-end, la Suisse s’invite à Ménilmontant. Après le festival RAPAILLER, consacré aux littératures québécoises, le festival DE GUINGOIS vous invite à célébrer les littératures suisses.
De la Suisse, pays voisin, on connaît peu. On imagine la droiture, les banques, les montagnes et le chocolat, alors que la Suisse est une terre de diversité linguistique et culturelle.
À travers des entretiens, des performances, des lectures, un podcast et un atelier d’écriture, DE GUINGOIS trace les contours d’une cartographie éditoriale et littéraire dynamique et sensible, où l’on rêve, où l’on s’aime, où l’on lutte, où l’on pense, où l’on fabrique et où l’on se questionne à plusieurs.
Et pour que cela soit une fête, le festival se tiendra sur la terrasse du Monte-en-l’air transformée en place de village, à l’ombre des arbres sous le soleil de juin.
Des bancs, des discussions, et toujours de quoi boire un verre !
13.06.2025

Étonnants Voyageurs 2025
du 7 au 9 juin
Nous aurons le grand plaisir de vous retrouver à Saint-Malo pour le Festival Étonnants Voyageurs
07.06.2025

★ “Au fil de la joie” plus beau livre suisse
Écrit sous la direction de Camille Bozonnet, avec les photos des marionnettes du TMG capturées par Carole Parodi, dans un écrin conçu par la graphiste Franziska Burkhardt, le tout imprimé avec art par La Buona Stampa, le livre est primé dans la sélection des plus beaux livres suisses 2025!
01.05.2025
Presse
La vie en zigzag, Karelle Ménine
dans QWERTZ, RTS
« Les mots «archéologie» et «archive» ne possèdent pas que le même préfixe; il y a aussi, derrière, la volonté de reconstituer. Ici, ce sont dix-huit archives hétéroclites par lesquelles l’autrice franco-suisse Karelle Ménine souhaite redonner une voix vibrante à celles et ceux qui ont traversé l’histoire de plein fouet, sans jamais être entendu·es. » – Salomé Kiner
05.06.2025

Petit dictionnaire de l’inégalité féminine, Alice Ceresa
dans L’élégance des livres
«Une œuvre majeure. Une traversée perfectionniste, éclairante et désacralisée. L’épure d’un féminisme qui excelle d’acuité et de vive intelligence. [...] Elle sait son dictionnaire subversif, quasi révolutionnaire. Elle pressent une faible évolution des mentalités masculines, dans la seule condition de ne pas toucher aux diktas des religions, de la morale.» – Evelyne Leraut
02.06.2025

Alice Ceresa: Dynamiter la langue des pères
dans Collatéral
«Ceresa commence dès les années 1970 à travailler à cette œuvre qui s’emploie à détourner la lexicographie pour critiquer d’une plume mordante les normes patriarcales. La forme du dictionnaire étant traditionnellement perçue comme objective et prescriptive, et historiquement conçue par des voix masculines, se prête ici à l’heureuse déconstruction des stéréotypes de genre, en questionnant notamment la prétendue neutralité de la langue. Bien avant les débats concernant l’écriture inclusive, Ceresa blâme la règle du masculin qui l’emporte sur le féminin. [...] Exposer les mécanismes du pouvoir à l’intérieur même de la grammaire, viser avec sarcasme à redéfinir l’émancipation de la langue, voici le programme déplié tout au long des cinquante entrées, classées – comme il se doit – alphabétiquement. Si Flaubert est le premier à s’être emparé de cet outil normatif pour railler la bêtise de son époque, Ceresa pointe la bêtise de millénaires de misogynie. [...] Ceresa a raison. Il faut dynamiter la langue qui ne sait pas dire les femmes.» – Simona Crippa