En ce moment
P.A.G.E.S 2025
du 31 janvier au 2 février
Cette année le Salon de l’édition d’art & de l’imprimé contemporain prend place à Palexpo, en collaboration avec Art Genève.
Le salon accueillera à nouveau une centaine d’éditeur.trice.s et on pourra s’y procurer publications d’art et de design, tirages de tête, fanzines, affiches, bandes dessinées, magazines, éditions limitées et autres objets imprimés. Des rencontres et des conférences autour de l’édition seront également proposées durant le week-end.
Palexpo, Halle 3
Route François-Peyrot 30
1218 Le Grand-Saconnex
Vendredi 31 janvier 2025: 16h00 – 20h00
Samedi 1 février 2025: 12h00 – 20h00
Dimanche 2 février 2025: 12h00 – 18h00
Entrée gratuite
31.01.2025
edICIon
la petite foire biennoise du livre est de retour! Nous vous accueillerons sur le stand des Insécables avec les éditions d’en bas, art&fiction, Hélice Hélas, Antipodes, Metropolis et La Baconnière
les 14 et 15 décembre
à la Maison Farel, Bienne
infos ici
14.12.2024
Événements
Actualités

P.A.G.E.S 2025
du 31 janvier au 2 février
Cette année le Salon de l’édition d’art & de l’imprimé contemporain prend place à Palexpo, en collaboration avec Art Genève.
Le salon accueillera à nouveau une centaine d’éditeur.trice.s et on pourra s’y procurer publications d’art et de design, tirages de tête, fanzines, affiches, bandes dessinées, magazines, éditions limitées et autres objets imprimés. Des rencontres et des conférences autour de l’édition seront également proposées durant le week-end.
Palexpo, Halle 3
Route François-Peyrot 30
1218 Le Grand-Saconnex
Vendredi 31 janvier 2025: 16h00 – 20h00
Samedi 1 février 2025: 12h00 – 20h00
Dimanche 2 février 2025: 12h00 – 18h00
Entrée gratuite
31.01.2025

edICIon
la petite foire biennoise du livre est de retour! Nous vous accueillerons sur le stand des Insécables avec les éditions d’en bas, art&fiction, Hélice Hélas, Antipodes, Metropolis et La Baconnière
les 14 et 15 décembre
à la Maison Farel, Bienne
infos ici
14.12.2024

mi-livre mi-raisin
30 vigneron.ne.s natures
30 maisons d’édition
50 auteur.e.s
les 7 et 8 décembre
de 11h à 20h
à la Bellevilloise, 19-21 rue Boyer, Paris 20e
entrée: 10€ la journée / 15€ le pass 2 jours
07.12.2024
Presse

On ne quitte pas la Terre
dans Le Monde
«Alexandre Chollier propose ainsi un “livre-documentaire” de belle facture qui, s’il suscite la rêverie, relativise le pouvoir de renouvellement du regard de ces vues de l’espace. Car l’homme, même dans le cosmos, ne perd jamais son point de vue Terrien.» – Lanwenn Huon
08.02.2025

Desarzens à l’œil nu
dans La Liberté
«La myopie aussi est un art de voir. Dans Le petit cheval tatar, l’écrivaine vaudoise propose une formidable cavalcade autour du globe (oculaire) [...] Lire alors est une expérience. Éblouissante, car son style est incomparable, positivement le plus reluisant de notre littérature suisse contemporaine.» – Thierry Raboud
08.02.2025

Et l’Homme, dans le hublot d’Apollo 17, vit la Terre en entier
dans La Liberté
«Le noir, démesuré, au cœur duquel tournoie une frêle bille bleue. Nous habitons une poussière de néant, révélation faite à l’humanité en décembre 1972, quand la NASA diffusa les photographies prises tout là-haut par l’équipage d’Apollo 17. Et pour la première fois l’on vit une image parfaitement ronde de notre Terre, esseulée dans le grand rien. Une révolution? Tant voulurent le penser, jusqu’à situer ce nouveau regard dans le sillage des grandes découvertes, au seuil d’un monde véritablement moderne enfin traversé par «une conscience nouvelle de notre solidarité». Mythologie sur laquelle le géographe genevois Alexandre Chollier invite toutefois à prendre du recul, inscrivant l’image intitulée Blue Marble, icône paradoxale du triomphe technique et de la vanité humaine, dans une plus large histoire de la conquête spatiale… qui fut aussi une conquête des imaginaires. En accompagnant les 170 prises de vues du film photographique avec un récit documentaire qui les replace sur leur bonne orbite spatiale mais aussi culturelle sinon philosophique, son livre, magnifiquement édité, embarque son lecteur aux confins sidéraux de l’attraction terrestre.» – Thierry Raboud